Enzo Nakamura

HJ :

Prénom : Appelez moi Crema
Âge : 18 ans
Où as-tu connus le forum ? Sur un autre forum XD

DJ :

Nom : Nakamura
Prénom : Enzo
Âge : 17 ans

Caractère :

Il est difficile de donner un caractère précis sans devoir rentrer trop dans les détails. Souvent son caractère dépends de nombreux facteurs tels que : la personne qu’il a en face de lui, la façon dont il se réveille le matin. Le cerner est quelque chose de complexe qui demanderait tout une vie de travail.
A première vue, c’est une personne calme au fort caractère. En un coup d’œil on devine aisément son côté indomptable. Dépasser les normes ne lui fait pas peur, au grand désespoir de ses deux parents. Il porte l’autorité en horreur et ne supporte que très durement les ordres. C’est pourquoi les écarts de conduite sont assez fréquents chez lui. Mais malgré ce défaut, Enzo a quelque chose d’irrésistiblement attirant. En lui parlant pour la première fois, on sait qu’il a bien du mal à exprimer ses sentiments sauf quant-il s’agit de colère. Le pousser à bout aboutirait certainement aux mains. Il n’a pas peur de se servir de ses poings et de prendre des coups. Pour ce coté là, son père en est très fier. Jamais un Nakamura ne se laissera marcher sur les pieds ! Un sourire reste exceptionnel sauf s’il est carnassier. Dégage de lui, un coté mystérieux qui ne cesse d’attirer les femmes. Mais voilà, Enzo a des idées très arrêtées sur elle.
L’entretien de la maison et le bonheur de leur famille doit passer avant tout, même avant elle. Bien sûr, elles ne doivent pas interférer dans les affaires destinées aux hommes puisqu’elles ne sont tout simplement pas capable de comprendre. Mais surtout, leur intelligence et culture doit être limitée. Il n’est pas possible qu’un homme soit moins intelligent qu’une femme. C’est pourquoi, Enzo se doit de réussir sa scolarité.
Peu sociable il n’a pourtant pas de mal à se faire des amis chez les hommes puisque, chacun d’eux souhaite entrer dans son cercle privé. Peut être est-ce parce qu’il détient une des plus grosses fortunes de l’empire asiatique ?
Pour lui, quelqu’un sans argent, est un raté. Si l’on n’est pas capable de réussir dans la vie, autant mourir tout de suite. Vivre sans en avoir les moyens est quelque chose qu’il ne peut pas concevoir. La vie est un combat qu’on se doit de gagner.

Physique :

Il n’y a pas à dire, Enzo est un bel adolescent. Du haut de ses 1 mètre 75, il peut impressionner n’importe qui par son charisme hors normes. Ses cheveux sont blond platine. Chose étrange quant-on connaît ses origines nippones. Ni longs, ni courts, ils se coiffent très difficilement.
Son front est marqué de quelques traces de plie qui apparaissent lors de ses sautes d’humeur. Une fine et discrète cicatrice démarre sur la partie gauche pour aller toucher son sourcil.
Noirs et relativement fins se sont ses poils qui marquent ses expressions faciales. Ils jouent donc un grand rôle dans la compréhension du personnage.
Ses yeux sont étirés en longueur et semblent bordés d’un voile noir. Les conjonctives bulbaires passent presque inaperçues, ne laissant que quelques traces de blanc ici et là. A l’inverse les iris de ses yeux prennent beaucoup de place. Leur couleur sombre ne change que très rarement, au contact prolongé du soleil. Les pupilles sont d’autant plus discrètes puisqu’elles se fondent partiellement avec les iris de la même couleur. De loin, son visage parait sombre et froid. De quoi apeurer les plus courageux.
Au milieu de son visage se trouve un fin nez aux narines relativement grandes. De chacune d’elles parent un trait qui ira rejoindre les deux extrémités de ses lèvres. Rouges à faire pâlir la gente féminine, se n’est pas un baiser qui leur ferait perdre leur intensité. L’humidité de cet organe lui donne tout son éclat.
Son visage se termine par un élégant menton peu visible à cause de la forme de son contour. Son cou, lien de rattache entre la tête et le reste de son corps, est très prononcé mais souvent camouflé par le col d’une chemise. Néanmoins, la pomme d’Adam saillant, lui donne ce coté aristocratique.
Sa carrure n’est pas imposante contrairement à son charisme. Ses épaules ne sont pas aussi larges qu’un rugbyman mais ressemblent d’avantage à ceux d’un footballeur. Ses membres sont fins mais cachent une grande force et agilité. Gracieux, ses mouvements paraissent précisément calculés. Mais, Enzo peut aussi être rustre et violent. Ses muscles sont volumineux sans trop l’être. Disons que c’est un homme normal.

Histoire :

L’enfance

Les couloirs étaient éclairés par de magnifiques lampes venues tout droit d’Amérique. Les ombres des meubles et contours de fenêtre, se projetaient sur le sol, allongeant les formes. Parfaitement propre, on pouvait regarder son reflet dans le carrelage ciré.
On lui avait compté la légende de narcisse, mais jamais il n’y cru. La surface reluisante ressemblait à de l’eau qui aurait jauni avec le temps et les saletés qui traînaient. Si on savait que le sol était propre, la couleur laissait penser le contraire. Les vitres resplendissaient face aux chaleureux rayons de l’étoile du jour.
Le pas précipité, deux hommes arpentaient l’immense lieu. Accroché à la main de l’un d’eux, un enfant d’a peine cinq ans tentait désespérément de suivre le rythme qu’on lui imposait. Ses yeux sombres se posaient sur chaque parcelle qu’il pouvait entrevoir. Quand on est enfant, un rien nous ébahit. Toute la lumière que l’espace dégageait, attirait inlassablement l’œil. Le père regarda sévèrement son bambin qui lui adressait un doux sourire enfantin.
« Je crois que cette école sera également très bien »
« Oui, elle va sans nulle doute lui plaire »
Les lèvres du principal, s’étirèrent dévoilant de grotesques dents. Enzo rentra la tête dans ses épaules, légèrement intimidé et effrayé. Une dos se plaqua sur son dos l’obligeant de faire quelques pas en avant. Ses mains potelées agrippèrent la partie de sa chemise qui recouvrait son corps.
« Nous allons voir. Faîte lui visiter les environs. »
L’autre homme s’abaissa aussi bas que son dos pouvait le lui permettre. Ses iris se jetèrent sur ceux du petit japonais qui abaissa immédiatement les yeux. Par réticence, son petit nez se retroussa légèrement quand le charlatan lui demanda de le suivre. Il regarda son père pour avoir son point de vue. Il ne vit ni signe de négation, ni signe d’approbation.
« Le choix t’appartient. »
Finalement, après une minute d’hésitation, Enzo se décida à suivre le vieil homme. Il lui fit visiter toutes les pièces de la luxueuse école primaire pour aboutir par une question.
« Alors, est-ce que cette école te plait ? »
Les salles de classes étaient vastes et l’un d’elles était réservée à l’entrepôt de milliers de jouets. Les couleurs étaient cependant fade et manquaient cruellement de gaieté. Mais son père lui avait dit d’être poli dans toutes les circonstances. C’est pourquoi il hocha la tête.
Le directeur claqua des mains de satisfaction avant de lui souhaiter la bienvenue dans son école. Et c’est ainsi, que deux jours plus tard, Enzo fit son entrée dans l’incommensurable école anglaise.

Les cours étaient strictes et ne laissaient pas de place à l’amusement. D’ailleurs on se demandait à quoi pouvait servir cette salle remplie de jouets. Enzo le découvrit lors du dernier jour du mois pendant lequel, les enfants eurent droit à une journée de repos. Cette éducation obligea notre jeune homme à se conformer très rapidement aux attentes d’une société aristocratique avide de pouvoir et de discipline. La socialisation marcha pendant sept longues années pendant lesquels il ne commis aucun écart de conduite. Mais l’adolescence est une autre étape à franchir.

L’adolescence

La lune surplombait les quartiers de la grande ville d’Okinawa. Depuis deux ans, la famille Nakamura avait emménagé au Japon, afin que leur fils découvre le pays de ses origines. Une bande de jeunes, adossés à un grillage, fumaient des substances illégales. Les pupilles dilatées, le regard perdu dans les tréfonds d’un sombre océan, ils riaient de bon cœur à la moindre parole prononcée. Et pourtant, Enzo ne comprenait pas ce qui pouvait bien les faire rire à ce point. Situé à bonne distance d’eux, il les fixait d’un œil critique. Se n’était pas la première fois que le bourgeois s’aventurait dans ses rues male famées. Il aimait regarder tout ses gens qui ne prenaient même plus la peine de trouver une maison, des vêtements ou encore un travail décent. Tout se qu’il trouvait à faire s’était de se morfondre de toutes les manières possibles et inimaginables.
Un des délinquants remarqua le ‘gosse de riche’ et se redressa en titubant.
« Hey, les gars regardez qui s’amène chez nous ? »
Tous se retournèrent. Ils pouvaient bien faire ce qu’ils voulaient de toute manière Enzo en avait vu d’autre. C’est avec assurance, qu’il les laissa s’approcher de lui.
« Alors t’es v’nu nous rendre une p’tite visite ? »
Tous étaient pathétiques à un point qu’ils ne pouvaient même pas imaginer. Mais l’éducation qu’avait reçut Enzo l’empêcha de le leur dire. Il se contenta de leur jeter un regard noir dont il avait le secret. Un sourire carnassier se dessina sur son visage révélant une lignée de dents blanches et droites.
« Hey ! Je t’interdis de prendre cette attitude avec nous ! »
Comme rien ne changea, le chef de bande agrippa le col de Enzo et le plaqua contre le mur. De si près, on pouvait sentir l’immonde odeur de l’alcool mélangée à celle de la transpiration sans compter la substance qu’ils fumaient. De quoi donner la nausée.
« T’es sourd ou quoi ? Tu veux qu’on t’cogne c’est ça ? »
« Vous avez rien d’autre à faire ? Chercher un boulot par exemple… »
Le mot de trop. Enzo sentit le poing du délinquant s’enfoncer dans son omoplate. Le souffle court, il s’accroupit sur le sol, une main à terre. Un coup de pied sur le coté le fit tomber à terre. D’autres suivirent jusqu’au moment ou il perdit conscience.


Tout était noir. Son corps semblait flotter. Partout ou ses yeux regardaient les ténèbres régnaient. Les membres endoloris par une douleur aiguë, les mouvements s’en trouvaient restreints mais cruciaux. Au loin une très faible lueur scintillait. Instinctivement, Enzo tendit sa main en avant. Il devait s’en rapprocher. Finalement, le but fut atteint.

Les paupières lourdes se levèrent avec difficulté. Le regard perdu dans le plafond blanc, Enzo se réveillait d’une semaine éprouvante. Les hématomes par dizaine lui faisaient mal, mais jamais il ne broncha. Ses iris se tournèrent sur la gauche pour apercevoir sa mère à son chevet. Son sourire immensément chaleureux embellissait son doux visage aux nombreux trait. Sa main se glissa parmi les cheveux de son fils.
« Bonjour, mon chéri »
« Bonjour, mère Répondit-il en détournant sa tête. Je suis ici depuis combien de temps ? »
« Sept jours »
Et une nouvelle fois, le silence s’installa. Sans doute encore éreinté de cette mésaventure, Enzo tomba lentement dans les bras de morphée. Par la suite, le médecin lui apprit qu’il était atteint d’une insuffisance cardiaque. N’étant pas dans un état avancé, on l’autorisa à rentrer chez lui. Il n’existe pas de traitement connu à ce jour. C’est pourquoi, Enzo décida d’agir comme si de rien n’était.
L’incident ne s’arrêta pas là. Pour punir son fils d’avoir osé s’aventurer dans un tel lieu, il décida l’envoyer dans une école un peu particulière.

Groupe : Emo-Boys
Célébrité sur l’avatar : Ruki

Merci à toi ^^

bienvenu enzo

Waouh...très belle présentation!

Je te valide avec grand plaisir ^^

Et les femmes ne sont pas plus faibles que les mecs !!! xD

XD alors là je suis complètement d'accord avec toi (normal j'en suis une hé hé )

Mais bon autant que mon perso ne soit pas trop parfait XD